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Ils sont fous les gens ! « Manger «bio» n’est pas meilleur pour la santé »

21 Mai

C’est ce qu’on peut lire sur le site du Figaro aujourd’hui ! Non mais ça ne va pas bien !!! Perso je n’y crois pas, même si cet artcile a l’air de reposer sur de solides « études » ! je vous laisse vous faire votre avis par vous-même…

Après examen d’une centaine d’articles scientifiques, deux chercheurs estiment que les aliments «bio» n’ont pas d’effet bénéfique.  

Les produits issus de l’agriculture biologique ne sont pas meilleurs pour la santé que les aliments ordinaires. Telle est la conclusion d’une étude publiée dans Les Cahiers de nutrition et de diététique par deux chercheurs honoraires de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), spécialisés en nutrition humaine et sécurité alimentaire. Après avoir examiné en détail plus d’une centaine d’articles scientifiques publiés depuis 2003, date de la remise du rapport de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), qui concluait, lui aussi, à «une absence de différence significative», Léon Guéguen et Gérard Pascal constatent que «les faibles différences observées ne confèrent pas aux aliments “bio” un avantage nutritionnel ou sanitaire significatif dans un régime alimentaire global».

 L’été dernier, un travail similaire effectué par des chercheurs britanniques pour le compte de la Food Standards Agency avait été vivement critiqué par les associations et la filière bio. Lesquelles reprochaient aux auteurs de s’être focalisé uniquement sur les aspects nutritionnels (en oubliant les éventuels risques liés aux pesticides) et de n’avoir pris en compte que les études publiées dans des revues à comité de lecture. «Nous avons décidé, pour clore le débat, d’aborder les aspects toxicité, censés être plus favorables aux produits bio, et d’intégrer quelques études fiables publiées dans ce que l’on appelle la “littérature grise”», explique Léon Guéguen. Dans ce nouveau travail, la balance ne penche pas en faveur du bio.

 Impact environnemental contrasté 

 «Le recours aux produits chimiques de synthèse étant exclu, on retrouve logiquement moins de pesticides dans les produits bio, mais on en trouve quand même…», note en effet Gérard Pascal. La faute aux traitements phytosanitaires effectués dans les champs conventionnels voisins… Pas de quoi s’affoler pour autant : les teneurs retrouvées sont dans les deux cas très faibles. En France, en 2007, une enquête de la Répression des fraudes (DGCCRF) a montré que 92 % des fruits et légumes analysés respectaient la réglementation. Les limites maximales de résidus (dont la valeur se situe, par mesure de sécurité, à un niveau 100 fois inférieur au seuil de toxicité) n’étaient dépassées que dans 8 % des cas. À noter que le cuivre, le soufre, la roténone et l’huile de neem, parfois massivement utilisés par les producteurs bio pour lutter contre certains parasites, n’ont fait à ce jour l’objet d’aucune recherche… «Or ces produits que les gens croient inoffensifs parce qu’ils sont “naturels” peuvent être aussi toxiques que certaines molécules de synthèse», souligne Léon Guéguen. Par ailleurs, si la réduction dans les cultures bio des intrants chimiques (engrais, produits phytosanitaires) favorise la production par la plante de substances antioxydantes bénéfiques pour la santé, comme les polyphénols, elle facilite aussi celle de métabolites secondaires et de toxines naturelles dont l’innocuité n’est pas garantie, estiment les deux auteurs.

 S’il se confirme que le fait de manger bio n’apporte pas de bénéfice évident pour la santé, en revanche, l’impact environnemental de ce mode de production est globalement meilleur, mais, encore une fois, contrasté. Un groupe de travail de l’Académie d’agriculture présidé par Bernard Le Buanec, note dans ses conclusions, publiées ce mercredi, que l’agriculture bio permet de réduire les teneurs en nitrates et pesticides des eaux de surface et souterraines. De même, la qualité physique et biologique des sols est améliorée, mais cette pratique peut à la longue «induire un appauvrissement en certains éléments minéraux, qui deviennent alors limitants pour la production». De même, si la biodiversité est plus riche sur les parcelles cultivées en bio, l’impact sur la réduction des gaz à effet de serre et la consommation énergétique reste «difficile à évaluer», avec «des résultats variables».

 Mais, en pratique, ces effets positifs ne sont pas opérants du fait de l’éparpillement des parcelles bio. Pour y remédier, les académiciens proposent de «concentrer» les exploitations bio dans certains territoires sensibles, comme les bassins versants ou les zones de captage d’eau potable. Mais ce regroupement n’est pas sans risque. «Aujourd’hui, les champs bio sont en partie protégés des parasites par les agriculteurs conventionnels qui traitent tout autour, note Léon Guéguen. Si on les rassemble au même endroit, les cultures pourraient être détruites en cas de forte épidémie.»

 Sinon le lien, c’est ici !

4 erreurs à cumuler pour mourir jeune !

17 Mai

Ce titre m’a interpelé et j’imagine que vous aussi ! Cela dit les résultats de cette étude sont assez surprenants….

Certaines mauvaises habitudes peuvent vous coûter jusqu’à 12 années de vie. Des chercheurs ont réussi à calculer le nombre d’années perdues résultant du cumul de 4 défauts. Autrement dit, nous savons quelles sont les 4 erreurs à ne pas cumuler pour augmenter notre longévité d’une bonne dizaine d’années…

L’expérience a été longue, très longue, mais le protocole extrêmement simple.

5.000 Britanniques âgés de plus de 18 ans ont été recrutés à partir de 1984 et suivis durant 20 ans.

Un score de santé de 0 à 4 a été attribué à chaque candidat selon le schéma suivant :

– 1 point en cas de tabagisme.

– 1 point en cas de consommation excessive d’alcool (plus de 14 verres par semaine pour les femmes et plus de 21 pour les hommes).

– 1 point pour une alimentation insuffisante en fruits et légumes (moins de 3 portions de fruits et légumes par jour).

– 1 point en cas de sédentarité (moins de 2 heures d’activité physique par semaine).

La courbe de mortalité a ensuite été établie puis mise en relation avec le score de santé.

Au total, 1.080 participants sont décédés, 430 de maladies cardiovasculaires, 320 de cancers et 330 d’autres causes.

Par rapport aux personnes qui n’ont adopté aucune des 4 mauvaises habitudes citées ci-dessus (score de santé : 0 point), le risque de mortalité sur 20 ans est augmenté de :

+ 85% avec un score de 1 point.

+ 123% avec 2 points.

+ 176% avec 3 points.

+ 249% avec 4 points.

Après un savant calcul, les chercheurs en arrivent à la conclusion que les personnes qui cumulent les 4 mauvaises habitudes perdent 12 années de vie.

Alors pour conserver ces 12 années, il faut  :

Arrêter de fumer, limiter sa consommation d’alcool, manger des fruits et des légumes à tous les repas, et bouger tous les jours.

Plus vous vous rapprocherez de ces 4 comportements bénéfiques pour votre santé, plus vous augmenterez votre durée de vie.

Pour en savoir plus -> ici 

Inde: 70 ans sans boire ni manger ?

28 Avr

AFP -Un ascète hindou de 83 ans affirmant avoir passé plus de 70 ans sans eau ni nourriture vient d’être placé en observation dans un hôpital d’une ville de l’ouest de l’Inde par une équipe de médecins fortement intéressés par son cas. Le yogi à la longue barbe, Prahlad Jani, a été admis dans un hôpital d’Ahmedabad pour une série de tests médicaux et une observation 24 heures sur 24. « De cette observation jaillira peut-être la lumière sur la survie de l’homme sans eau ni nourriture », a déclaré le Dr G. Ilavazahagan, directeur de l’Institut national de défense spécialisé en physiologie.

Cet institut fait partie de l’organisation de recherche et développement du ministère de la Défense, qui a déjà mis au point l’an dernier des grenades bourrées de piment rouge pour étourdir des émeutiers. Les tests médicaux pourraient « aider à élaborer des stratégies de survie lors de catastrophes naturelles, de conditions extrêmes de stress ou pour des missions spatiales sur la Lune ou sur Mars », a commenté le Dr Ilavazahagan.

Les médecins feront passer à l’ascète un scanner utilisant l’imagerie par résonance magnétique (IRM). Son cerveau et son activité cardiaque seront mesurés par des électrodes et il subira aussi des examens sanguins. Les tests devraient durer entre 15 et 20 jours. Depuis le début, le sage n’a pas bu une seule goutte d’eau, ne s’est pas alimenté et n’est pas allé aux toilettes, selon le Dr Ilavazahagan. « Le recours au scanner vise à comprendre quelle est l’énergie qui soutient son existence », a-t-il ajouté, expliquant que des soldats pourraient bénéficier de son apparente capacité à survivre.

« Jani dit qu’il médite pour avoir de l’énergie. Nos soldats ne pourront pas méditer mais nous aimerions quand même en savoir plus sur l’être humain et son corps », a-t-il poursuivi. Les résultats devraient être connus d’ici deux mois. Deux caméras fonctionnant 24 heures sur 24 ont été placées dans sa chambre tandis qu’une caméra mobile le suit quand il doit sortir, a expliqué le neurologue Sudhir Shah qui fait partie de l’équipe. Selon le yogi, originaire du Gujarat, une déesse l’a béni à l’âge de huit ans, lui permettant de vivre sans nourriture.

Produits laitiers : bons ou mauvais pour la santé ?

20 Avr

Aujourd’hui, je vous invite à lire le dossier très bien fait paru sur le site L’Internaute : Produits laitiers : bons ou mauvais pour la santé. C’est complet et l’article a le mérite de peser le pour et le contre… chacun fait/pense bien ce qu’il veut après ! Bonne lecture !

http://www.linternaute.com/sante/nutrition-digestion/produits-laitiers/